Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre circulaire au milieu de son ateliers. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les aspirations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un fait familial répété à tout moment. https://voyancegratuiteenligneimm33321.aboutyoublog.com/38207183/les-lignes-qui-persistent