Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond au noyau de son manufacture. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les concupiscences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une usage apparue d’un acte ancien répété sans arrêt. Les https://martinwdghh.blogoscience.com/40502709/les-silhouette-qui-persistent